Voici le chapitre 7, traduit par mes soins. Merci de respecter mon travail =)
Sage se retourna. Un homme adulte Wishling avec des cheveux brun foncé et un uniforme vert se tenait au milieu du couloir, fronçant les sourcils en la regardant.
Dans sa hâte elle n’avait pas pu faire un choix éclairé et elle espérait que sa tenue en soit un. L’homme la regarda par-dessus sa planchette à pince.
ARRIVEE A DESTINATION, énonça le Star-Zap. Sage s’arrêta devant la porte de la salle de classe, prit une profonde inspiration, lissa ses tresses, et l’ouvrit. Vingt-cinq élèves tournèrent leurs têtes dans sa direction. Sage se sentit soudain complexée pour la première fois. C’était un sentiment inhabituel, et heureusement uniquement passager.
Une jolie femme adulte Wishling avec des cheveux blonds lisses tirés en une basse queue de cheval s’approcha de la porte dans une robe rouge à pois.
Quelques élèves gloussèrent tandis qu’elle passait.
Sage enjamba les jambes tendues d’un garçon et se glissa sur un siège en plastique, reposant ses bras sur le bureau qui y était attaché. Jon était là était gravé sur la surface. Elle attendit que le siège s’ajuste. Mais il resta le même – dur, plastique, et inconfortable. Ce fut l’observation numéro quatre : les chaises Wishlings ne s’ajustent pas.
Elle jeta un œil autour de la pièce, se demandant quel élève était le Souhaiteur. Son Bijou de Souhait brillait faiblement, preuve que son Souhaiteur était proche. Était-ce le rouquin avec les taches de rousseur ? La blonde avec les couettes qui regardait partout ? Celle avec les cheveux noir de jais qui lui tombaient sur les épaules et qui la toisait avec curiosité ? Ca pouvait être n’importe qui !
Madame Daniels résuma sa leçon de mathématiques. Elle prit un ustensile d’écriture rouge et copia des nombres et des symboles sur la surface lisse blanche qui courait le long du mur avant de la salle de classe.
Madame Daniels semblait perplexe.
Sage se retourna. Un homme adulte Wishling avec des cheveux brun foncé et un uniforme vert se tenait au milieu du couloir, fronçant les sourcils en la regardant.
- « Et qu’est-ce que tu portes ? Tu sais que les jeans ne sont pas autorisés à l’école. Je vais devoir te rédiger un billet de retenue ! »
Dans sa hâte elle n’avait pas pu faire un choix éclairé et elle espérait que sa tenue en soit un. L’homme la regarda par-dessus sa planchette à pince.
- « Comme je l’ai dit, pas de jeans ou… »
- « Attends - quoi ? J’aurais pu jurer… »
- « Eh bien… alors, où est ton passe-droit ? » demanda-t-il, hérissé.
- « Mmmmm… », dit-il, un sourire s’étirant sur son visage. « Gâteau des anges ».
- « Mon nom est Sage. Je suis la nouvelle élève à l’école. »
- « Oui », dit-il. « Tu es Sage et tu es la nouvelle élève à l’école. »
- « Ca me rappelle les gâteaux que ma grand-mère nous préparait à ma sœur et moi après l’école. Elle nous laissait lécher les batteurs quand elle avait fini. Vas-y tout de suite ! »
ARRIVEE A DESTINATION, énonça le Star-Zap. Sage s’arrêta devant la porte de la salle de classe, prit une profonde inspiration, lissa ses tresses, et l’ouvrit. Vingt-cinq élèves tournèrent leurs têtes dans sa direction. Sage se sentit soudain complexée pour la première fois. C’était un sentiment inhabituel, et heureusement uniquement passager.
Une jolie femme adulte Wishling avec des cheveux blonds lisses tirés en une basse queue de cheval s’approcha de la porte dans une robe rouge à pois.
- « Est-ce que je peux t’aider ? » demanda-t-elle.
- « Ils doivent préparer du gâteau à la carotte à la cantine. Délicieux. »
- « Je peux presque goûter la crème au fromage frais de ma mère. »
- « Je suis Sage », dit-elle agréablement. « Je suis la nouvelle élève dans votre classe. »
- « Tu es Sage. Tu es la nouvelle élève dans ma classe », répéta-t-elle.
- « Je t’en prie assied-toi. Je suis Madame Daniels, ton professeur ».
Quelques élèves gloussèrent tandis qu’elle passait.
- « Les enfants ! » dit le professeur. « Il n’est pas nécessaire d’être malpolis avec votre nouvelle camarade de classe.»
- « Joli sac à dos », dit un garçon. « Mais pourquoi n’est-il pas sur ton dos ? »
- « Oops », dit-elle. « Je pense que j’ai cru que c’était un sac à ventre ».
Sage enjamba les jambes tendues d’un garçon et se glissa sur un siège en plastique, reposant ses bras sur le bureau qui y était attaché. Jon était là était gravé sur la surface. Elle attendit que le siège s’ajuste. Mais il resta le même – dur, plastique, et inconfortable. Ce fut l’observation numéro quatre : les chaises Wishlings ne s’ajustent pas.
Elle jeta un œil autour de la pièce, se demandant quel élève était le Souhaiteur. Son Bijou de Souhait brillait faiblement, preuve que son Souhaiteur était proche. Était-ce le rouquin avec les taches de rousseur ? La blonde avec les couettes qui regardait partout ? Celle avec les cheveux noir de jais qui lui tombaient sur les épaules et qui la toisait avec curiosité ? Ca pouvait être n’importe qui !
Madame Daniels résuma sa leçon de mathématiques. Elle prit un ustensile d’écriture rouge et copia des nombres et des symboles sur la surface lisse blanche qui courait le long du mur avant de la salle de classe.
- « Maintenant, qui veut essayer de résoudre cette équation ? » demanda-t-elle.
- « Allez, les enfants, » dit Madame Daniels. « Que quelqu’un vienne ici et montre à Sage ici présente comme nous sommes bons avec les longues divisions. »
- « Deux cent quatre-vingt-onze mille six cent six divisé par trois cent soixante et onze », dit Madame Daniels. « Rappelez-vous : Donne-Moi Sa Chère Adresse. Vous devez Diviser, Multiplier, Soustraire, Comparer et Abaisser… »
- « Sept cent quatre-vingt-six », dit Sage automatiquement.
- « Sage, nous devons d’abord élever notre… ».
- « C’est exact », dit-elle lentement.
- « Comment est-ce possible ? Est-ce que tu utilises une calculatrice ? »
- « Une calcula-quoi ? » demanda Sage.
- « Cinquante mille cent quatre-vingt-treize divisé par quatre-vingt-dix-neuf ? » dit-elle.
- « Cinq cent sept », dit Sage bien qu’elle eut le sentiment qu’elle ferait mieux de garder sa bouche fermée.
Madame Daniels semblait perplexe.
- « Quatre-vingt-douze mille cinq cent quarante-cinq divisé par quatre cent quinze ? »
- « Deux cent vingt-deux ? »
- « Non, c’est deux cent vingt-trois ! Tu as du avoir le même livre de math dans ta dernière école. Ca doit être ça. »
- « C’est vrai », dit Sage.